Rien n’avait bougé depuis l’automne. Jacques retrouvait la maison comme il l’avait toujours connue. Il s’affala dans le canapé, et resta un moment à respirer l’air renfermé et son odeur si particulière ; il se remémorait toutes les vacances passées là, et savourait la solitude, pour une fois. Il n’en revenait toujours pas d’avoir convaincu ses parents de lui laisser la villa, à 22 ans.
Il finit par se relever, et se mit à ouvrir fenêtres et persiennes. La maison se réveillait lentement de sa léthargie hivernale ; elle se secouait dans un nuage de poussière, faisait grincer les gonds, et claquer les volets.
Je ne peux pas juger du contenu de l’histoire pour l’instant, mais je tiens à dire que je trouve courageux ta décision de te lancer sur un support nouveau, et je te souhaite une bonne continuation.
Celà dit, même si le texte est agréable à lire, je ne trouve pas les formulations toujours très adroites.
Merci.
On fait ce qu’on peut (hors du contexte scolaire, je n’ai jamais vraiment écrit…). Et comme je m’impose une écriture chaque soir, je n’ai pas bien le temps de peaufiner le texte… (j’ai conscience que la dernière phrase est un peu maladroite)
Juste pour savoir, qui es-tu ?
Layl.
C’est utile de se mettre dans la peau d’un anonyme, pour faire des remarques objectives 🙂